El proyecto POCTEFA GREEN promueve la restauración del hayedo en el Parque Natural de Gorbeia
19/03/2019
La Diputación Foral de Bizkaia y Hazi Fundazioa, acometieron en el marco de dicho proyecto, una actuación dirigida a conseguir la persistencia de un bosque de hayas (hayedo calcícola) y a favorecer su biodiversidad.
El Monte Patrimonial “Arimekorta-Laurtundu”, propiedad de la Diputación y sito en el municipio de Zeanuri (Gorbeia) Monte, está poblado de hayas trasmochas más o menos dispersas. Debido a la particular morfología en forma de candelabro de estos árboles, a la pendiente y a la intensa acción de viento y nieve, las hayas se estaban cayendo y rompiendo, poniendo en peligro la persistencia del bosque en el tiempo.
La acción cofinanciada con GREEN ha realizado un cierre perimetral del monte para fomento de la regeneración, a la vez que se han practicado operaciones de reducción de copa mediante poda y retrasmocheo en hayas con problemas de estabilidad para evitar su caída, dejando extendidos los troncos y las ramas gruesas y apilados los restos de corta más finos.
Con esta actuación se espera no sólo evitar la pérdida del hayedo sino también mejorar la biodiversidad forestal: incorporación de otras especies arbóreas y arbustivas (tejo, fresno, mostajo, espino…), mayor continuidad horizontal y vertical, progresión a monte alto con diferentes edades, existencia de madera muerta… y, en fin, mejorar la capacidad de respuesta del monte frente a posibles cambios o perturbaciones futuras.
El proyecto POCTEFA GREEN promueve la restauración del hayedo en el Parque Natural de Gorbeia
19/03/2019
La Diputación Foral de Bizkaia y Hazi Fundazioa, acometieron en el marco de dicho proyecto, una actuación dirigida a conseguir la persistencia de un bosque de hayas (hayedo calcícola) y a favorecer su biodiversidad.
El Monte Patrimonial “Arimekorta-Laurtundu”, propiedad de la Diputación y sito en el municipio de Zeanuri (Gorbeia) Monte, está poblado de hayas trasmochas más o menos dispersas. Debido a la particular morfología en forma de candelabro de estos árboles, a la pendiente y a la intensa acción de viento y nieve, las hayas se estaban cayendo y rompiendo, poniendo en peligro la persistencia del bosque en el tiempo.
La acción cofinanciada con GREEN ha realizado un cierre perimetral del monte para fomento de la regeneración, a la vez que se han practicado operaciones de reducción de copa mediante poda y retrasmocheo en hayas con problemas de estabilidad para evitar su caída, dejando extendidos los troncos y las ramas gruesas y apilados los restos de corta más finos.
Con esta actuación se espera no sólo evitar la pérdida del hayedo sino también mejorar la biodiversidad forestal: incorporación de otras especies arbóreas y arbustivas (tejo, fresno, mostajo, espino…), mayor continuidad horizontal y vertical, progresión a monte alto con diferentes edades, existencia de madera muerta… y, en fin, mejorar la capacidad de respuesta del monte frente a posibles cambios o perturbaciones futuras.
El proyecto POCTEFA GREEN promueve la restauración del hayedo en el Parque Natural de Gorbeia
19/03/2019
La Diputación Foral de Bizkaia y Hazi Fundazioa, acometieron en el marco de dicho proyecto, una actuación dirigida a conseguir la persistencia de un bosque de hayas (hayedo calcícola) y a favorecer su biodiversidad.
El Monte Patrimonial “Arimekorta-Laurtundu”, propiedad de la Diputación y sito en el municipio de Zeanuri (Gorbeia) Monte, está poblado de hayas trasmochas más o menos dispersas. Debido a la particular morfología en forma de candelabro de estos árboles, a la pendiente y a la intensa acción de viento y nieve, las hayas se estaban cayendo y rompiendo, poniendo en peligro la persistencia del bosque en el tiempo.
La acción cofinanciada con GREEN ha realizado un cierre perimetral del monte para fomento de la regeneración, a la vez que se han practicado operaciones de reducción de copa mediante poda y retrasmocheo en hayas con problemas de estabilidad para evitar su caída, dejando extendidos los troncos y las ramas gruesas y apilados los restos de corta más finos.
Con esta actuación se espera no sólo evitar la pérdida del hayedo sino también mejorar la biodiversidad forestal: incorporación de otras especies arbóreas y arbustivas (tejo, fresno, mostajo, espino…), mayor continuidad horizontal y vertical, progresión a monte alto con diferentes edades, existencia de madera muerta… y, en fin, mejorar la capacidad de respuesta del monte frente a posibles cambios o perturbaciones futuras.
Réunion du Comité Technique dans la vallée d'Aure (Hautes-Pyrénées)
23-24/05/2019
L'ensemble des partenaires techniques se sont réunis à nouveau pour 2 jours de travail au cœur du Parc National des Pyrénées. Ce fut l'occasion pour les pilotes des actions de présenter les avancées des travaux mis en œuvre entre octobre 2018 et juin 2019 et présenter les activités prévues jusqu'à la fin du projet INTERREG (novembre 2019).
Un temps fut également dédié aux échanges sur les suites du projet GREEN compte tenu des fortes dynamiques partenariales créées depuis ces 3 dernière années. De nombreuses idées et propositions furent discutées, toutes témoignant de la forte volonté des gestionnaires des espaces naturels des Pyrénées de continuer et de renforcer la mise en réseau Pyrénéenne.
Les figures de protection internationales
Le Droit international en matière de protection de l'environnement se présente sous la forme de conventions et de traités qui lient les membres qui y adhèrent.
Les 5 principaux traités dans ce domaine sont les suivants :
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Mise en pratique suite au Sommet de la Terre à Rio de Janeiro en juin 1992, la CDB est un traité international qui regroupe 193 parties, principalement des États, mais également des groupements d'États comme l'Union européenne. Sous le terme "diversité biologique", la CDB comprend toutes les formes de vie sur Terre, y compris les écosystèmes, les animaux, les plantes, les champignons, les micro-organismes et la diversité génétique. Elle a pour principaux objectifs :
- la conservation de la diversité biologique ;
- l’utilisation durable de la diversité biologique ;
- le partage juste et équitable des avantages découlant de l’utilisation des ressources génétiques.
Grâce à ces objectifs, la CDB est généralement présentée comme le principal instrument international relatif au développement durable.
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Convention relative aux zones humides, particulièrement comme habitats des oiseaux d’eau, ou Convention de RAMSAR :
Entrée en vigueur en 1975, la convention de Ramsar est le plus ancien des traités internationaux modernes. Elle reconnaît l'importance vitale que présentent les zones humides pour l'humanité et pour d'innombrables espèces de plantes et d'animaux. Sous le terme "zones humides", elle comprend tous les lacs et rivières, aquifères souterrains, marécages et marais, prairies humides, tourbières, oasis, estuaires, deltas et étendues intertidales, mangroves et autres zones côtières, récifs coralliens et tous les sites artificiels tels que les bassins de pisciculture, rizières, réservoirs et marais salants. Elle a été négociée par des États et des organisations non gouvernementales, et les parties qui y adhèrent poursuivent les objectifs suivants :
- utilisation rationnelle de toutes leurs zones humides ;
- inscription des zones humides appropriées sur la Liste des zones humides d'importance internationale (Liste de Ramsar) et leur bonne gestion ;
- coopération internationale dans les zones humides transfrontalières, les systèmes de zones humides partagés et pour les espèces
partagées.
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Signée en 1972 par les membres de l'UNESCO, cette convention vise à la conservation et la protection du patrimoine culturel et du patrimoine naturel. La protection de ces deux patrimoines dans une même visée reconnait ainsi l’inévitable interaction entre l'humanité et la nature et l'importance de maintenir l'équilibre entre les deux.
Outre la Liste du patrimoine mondial, l'UNESCO participe à la protection de l'environnement et des espaces naturels grâce au Programme sur l'Homme et la biosphère (MaB, selon ses sigles en anglais pour Man and Biosphere), programme scientifique intergouvernemental qui se traduit par la création de Réserves de biosphère partout dans le monde.
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Convention pour la protection du milieu marin de l'Atlantique du nord-est (OSPAR, ou Convention d'Oslo-Paris) :
Entrée en vigueur en 1998, elle remplace en les unifiant les Conventions d'Oslo (sur les immersions - 1972) et de Paris (sur les pollutions d’origine tellurique et l’industrie pétrolière - 1974). Une nouvelle annexe sur la biodiversité et les écosystèmes a été ajoutée pour englober les activités humaines non polluantes pouvant avoir un effet négatif sur la mer.
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Cette Convention est un programme des Nations Unies pour l'environnement, faisant partie du Plan d'action pour la Méditerranée, entré en vigueur en 2004, qui vise au développement durable de la zone de la mer Méditerranée. Elle dispose de 7 protocoles, qui englobent différentes thématiques de la conservation de l'environnement méditerranéen.
Il s'agit d'une version amendée de la Convention de Barcelone (1972), qui avait pour principal objectif la lutte contre la pollution dans la mer Méditerranée.
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Les figures de protection internationales issues des traités internationaux sont variées.
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Les différentes figures de protection internationale dasn les Pyrénées :
Pour plus d'informations sur ces espaces naturels des Pyrénées espagnoles, cliquez sur l'espace correspondant.